Escalade au refuge d’Argentière

Après vérification du matériel, nous embarquons dans les remontées mécaniques des Grands-Montets, jusqu’au sommet du télésiège de Plan Joran. En 4 heures de randonnée avec des passages d’échelles et d’autres passages glaciaires nécessitant parfois les crampons, nous rejoignons le refuge d’Argentière. Si la météo le permet, l’après-midi peut être consacrée à l’ascension d’une voie proche du refuge, certaines sont à 10 minutes à peine. Par exemple le Gateau de Riz (5) ou bien la voie Bettembourg (5+) à l’aiguille du refuge. Ou bien de la pratique sur l’école d’escalade dominant le refuge. Nuit en dortoir au refuge d’Argentière, 2771 m.

Une voie aura été choisie, proche du refuge ou sur l’un des piliers de l’aiguille d’Argentière, le choix est vaste. Par exemple l’arête sud de l’aiguille du Génépi ou une voie plus soutenue en face sud-est (5+/6a). Ou plus simplement l’arête du Rabouin, très accessible et panoramique, en 4. Ou des voies plus soutenues avec un accès un peu plus long. Nuit en dortoir au refuge d’Argentière, 2771 m.

Une voie aura été choisie, proche du refuge ou sur l’un des piliers de l’aiguille d’Argentière, les choix sont très nombreux. Par exemple l’arête sud de l’aiguille du Génépi ou une voie plus soutenue en face sud-est (5+/6a). Ou plus simplement l’arête du Rabouin, très accessible et panoramique, en 4. Ou des voies plus soutenues avec un accès un peu plus long. Après un court passage au refuge, descente à Plan Joran, puis de là avec les remontées mécaniques ou jusqu’à Argentière à pied si l’horaire est plus tardif. Séparation dans la vallée, vers 17-18h ou plus tard.